Cédric O’Heix, ancien candidat de la Nouvelle Star 2008, revient sur le devant de la scène pour nous présenter en avant-première son nouvel album.
Cédric a passé son enfance proche de la mer et c’est ce qui transparaît de sa musique. Un mélange de chansons langoureuses et nonchalantes !
Son amour pour la musique passe à travers sa découverte du piano vers l’âge de huit ans avant de s’orienter vers la guitare. A dix-sept ans, il forme son premier groupe et l’année suivante part pour l’école nationale de la marine marchande. Ce qui va trop l’éloigner de sa musique, et c’est après une rupture amoureuse qu’il se retourne vers son amour de toujours: la musique.
C’est lorsqu’il joue dans les pubs de la côte, qu’une amie lui propose de participer au casting de la Nouvelle Star. Suite à cette aventure, qui lui rappelle son attachement à la langue française, sa rencontre avec Polérik Rouvière sera déterminante.
Son nouveau projet artistique est un savant mélange de tout ce qui l’habite: la mer, la musique et la culture celte. Ce qui se ressent avec toute la diversité que compte les instruments qui l’accompagne sur scène: la mandoline, le ukulélé, la guitare et le piano !
Vraiment heureuse de me retrouver une nouvelle fois au Zèbre de Belleville, ce cadre est toujours aussi accueillant et chaleureux avec son inscription » le plus petit cabaret d’Europe« , le ton est donné… La salle se remplit petit à petit chacun trouve sa place. Après une première partie, Cédric O’Heix arrive sur le devant de la scène sous les acclamations du public (féminin !). Très sobrement habillé, on comprend que Cédric veut mettre en avant sa musique avant son personnage … chose difficile à réaliser au vu des mines réjouies de l’assistance !
Cédric O Heix va toucher son auditoire à coup de chanson d’amour et de rupture qui font de lui ce qu’il est. Et c’est en toute intimité que le lien se crée.
S’en suit un hommage à sa mer, celle qu’il a côtoyée aussi longtemps, celle a qui il a chanté son désir de retrouver la terre ferme pour vivre de sa passion.
« Balade sous les toits » nous transporte dans son univers et « horde sauvage » finit de nous convaincre que Cédric O’Heix, n’est pas aussi coincé que son look veut bien nous le faire croire.
Cédric O’Heix va nous balader dans ses différents univers à travers son expérience de la vie et ses instruments que nous allons découvrir tout au long de son concert. Le zébre semble encore une fois un merveilleux écrin pour créer une atmosphère intismiste où on a presque envie de murmurer. Une atmosphère qui va nous entourer jusqu’à la fin de ce langoureux concert.
En attendant son nouvel album …
Y’a que moi
La foule des choses