Au risque de paraître un peu narcissique, je vais faire un peu de pub pour ma nouvelle que j‘ai écrite moi toute seule !
J’ai toujours aimé écrire des histoires et il y a quelques temps j’ai décidé de mettre l’une de mes nouvelles en ligne, disponible à cette adresse: http://tousdesgrenouilles.free.fr.
C’est une histoire de grenouilles, mais pas que.
C’est l’histoire de Tallulah Jones, la journaliste la plus branchée de Londres. Tout comme la journaliste populaire et bourrée de talent à laquelle j’aspire (tout le monde a le droit de rêver, non?), elle travaille pour le Times et ses principales occupations sont: flâner dans les rues de Londres, penser à la couleur de sa prochaine robe, … en un mot, de vrais problèmes existentiels!
Elle mène une vie tranquille jusqu’au jour où elle retrouve un homme, qu’elle prend tout d’abord pour un clochard, sur son paillasson. Mais Edward Mortenson est loin d’être un clochard, même s’il empeste à deux kilomètres à la ronde, il est en cavale car il a découvert un secret… des informations que le gouvernement a décidé de cacher afin d’éviter la panique. C’est pour cette raison qu’il vient solliciter l’aide de notre chère journaliste. Et les révélations qu’il va lui faire vont bouleverser sa vie pour toujours…
C’est pas très long, 8 pages et ça devrait vous prendre une demi-heure tout au plus, donc si vous avez le temps d’y jeter un coup d’oeil avant que la grenouille finisse comme ça…
… ce serait super! Alors cliquez sur la grenouille et venez découvrir l’histoire de Tallulah Jones. N’oubliez pas de laisser un petit commentaire pour que je sache ce que vous en avez pensé!
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« Imaginez une marmite remplie d’eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille.
Le feu est allumé sous la marmite, l’eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède.
La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.
La température continue à grimper. L’eau est maintenant chaude. C’est un peu plus que n’apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s’affole pas pour autant.
L’eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s’est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien.
La température continue à monter jusqu’au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir, sans jamais avoir fait quelque chose pour s’extraire de la marmite.
Si la même grenouille avait été plongée directement dans l’eau à 50°C, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l’aurait éjectée aussitôt de la marmite…
Cette expérience montre que, lorsqu’un changement s’effectue d’une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte. »
Olivier CLERC
