Les règles peuvent être compliquées à supporter en fonction de son agenda. Il peut être plus facile et plus simple, d’avoir ses règles, lors d’un week-end chill qu’au cours d’une semaine d’examen.
Si on pouvait choisir… Vu que l’on a nos règles 2200 jours dans notre vie, autant que cette période soit la plus « douce » possible ! Voici quelques petits tips pour vous aider à survivre supporter vos règles !
Le choix de la bonne protection : bio ou culottes menstruelles ?
Même si de plus en plus de femmes sont adeptes au flux instinctif et ne portent plus de protections, il reste difficile de mettre en place ce genre de pratique selon son mode de vie, entre les transports en commun, les journées très rythmées…
Aujourd’hui, on recommande de se tourner vers des protections hygièniques bio, sans ajout de plastique ou de chlore.
Les culottes menstruelles sont adoptées par de plus en plus de femmes à la recherche de confort, de solutions écologiques sans renoncer à un brin de coquetterie.
Des marques comme Rejeanne proposent de nombreux modèles en coton bio certifié GOTS, même pour les ados avec le modèle phare qu’est la culotte pour adolescente Réjeanne, des maillots de bain et un legging menstruel, afin de ne plus s’enquiquiner avec ses règles.
Utiliser des anti-douleurs naturels
Appelées souvent remèdes de grand-mère, les recettes ou astuces naturelles peuvent soulager des douleurs faibles à modérées.
1/ La bouillote au niveau du ventre et des reins reste un must have pour apaiser une zone congestionnée. On trouve aujourd’hui des bouillotes naturelles en noyaux de cerise, qui diffuse une chaleur douce sur la durée.
2/ L’huile essentielle de sauge, mélangée à de l’huile (de sésame, d’abricot…) est intéressante pour ses vertus anti spamodiques. A appliquer sur le ventre dans le sens des aiguilles d’une montre, elle aide à passer ce cap difficile. Attention au dosage : l’huile essentielle ne doit absolument pas être utilisée pure.
Bien sûr quand on a mal à en crever, on ne pense qu’à une seule chose : stopper la douleur. On peut se tourner vers des anti-douleurs classiques vendus en pharmacie ou délivrés sous ordonnance.
Respectez bien la posologie : une prise de médicaments au-delà de la normale peut augmenter drastiquement le flux. Si la douleur est insoutenable, on prend rdv chez le médecin pour vérifier l’absence de kystes ovariens ou une endométriose.